Eau de là, eau de vie...
Cascade de la Roucolle à Thiezac...
Nul ne peut douter que le malheur, le tumulte, le chahut, le chaos ne peuvent durer éternellement, un jour le calme revient, la lumière peut jaillir à nouveau et redonner la vie. Bien sur la lave reste là, les cicatrices creusent la terre, la peau et les âmes. Les petites rivières qui se dessinent sur nos fronts et nos mains ne sont que le reflet de la vie qui passe, belle, mystérieuse, puissante et si fragile. L'éternité de la jeunesse restera l'apanage de ceux partis trop tôt qui resteront en nos mémoires jeunes et puissants.
Le temps horizontal que nous mesurons chaque jour nous fait peur mais le temps vertical lui de midi à minuit, laisse les aiguilles postées dans la même position. Alors restons centrés sur l'instant, Goethe ne disait-pas seul l'homme peut accorder une durée à l'instant. Plus nous plongeons dans l'instant et moins le temps existe. Il semblerait que dans l'infiniment petit les règles de la physique ne s'appliquent plus... le temps disparait...
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